Au commencement, le début (?)
Arrival, c’est le deuxième film que j’ai regardé dans cette semaine dédiée à la SF, sans vraiment le décider en tant que tel : c’est juste que j’avais décidé de revoir Blade Runner 2049 lundi, quelque temps après avoir vu la version de Dune réalisée par Denis Villeneuve. J’ai d’ailleurs bien aimé sa vision de l’histoire écrite par Frank Herbert, que je n’ai jamais lue, mais dont David Lynch avait fait un film culte à mes yeux (“Dune, planet of sands”), malgré les défauts qu’on lui décrit aujourd’hui. Dans cette version moderne de Villeneuve, je suis resté un peu sur ma faim, avec le sentiment d’avoir regardé un superbe teaser de près de 3h : eh oui, le film s’ouvre sur un “Dune, première partie”, qui m’a jeté d’emblée dans un trouble et un étrange sentiment de désarroi que j’ai gardé tout le film, avec cette question : est-ce qu’on va me raconter toute l’histoire aujourd’hui ? (Spoiler : non)Mais je m’égare.